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« CARTE D'IDENTITÉ » [] Personnage Vacant ; [X] Personnage Inventé » NOM ; Reaves » PRÉNOM ; Jessie Louisa » ÂGE ; 33 ans » OCCUPATION ; médecin- légiste » GROUPE ; humain lambda

« VIE AVANT L'IMPULSION » Naitre, grandir, évoluer, aimer, détester, vieillir, souffrir, mourir …une vie peut bien se résumer à ces termes, de simples mots qui comme une litote cachent bien plus. L’on a toujours tendance à dire moins pour dire plus, cependant, il faut parfois s’attarder sur les détails qui font d’une vie, la vie. Cet enchainement de choix, de décisions donne ce foisonnement de vies tellement différentes, comme une réflexion du foisonnement de l’ADN. Dans cette perspective, s’intéresser à Nathalie est incontournable pour raconter l’histoire de Jessie. Pourquoi ? Tout simplement parce que cette jeune femme s’est rendue compte en 1989 que sa vie n’allait plus être la même. Le miracle de la vie s’était imposé cette année là sans demander l’avis de la jeune Nathalie. C’était plutôt une erreur de débutante, une erreur d’une fille qui avait des rêves plein la tête et les poches complètement vides. Mais ce qui aurait pu être une triste histoire, s’avéra être une magnifique aventure. Etre une fille de joie parce qu’on doit payer des factures n’était pas vraiment compatible avec le fait d’être enceinte. Mais alors qu’on croit avoir touché le fond, il arrive parfois qu’une rencontre inattendue vous remette en bon chemin. C’est à l’hôpital que Nathalie rencontra celui qui partagera sa vie jusqu’à sa mort. Il était infirmier, il était beau, il était doux et aimant. Le genre d’homme qu’on décrit dans les livres et qui sont rares à trouver. Son nom, était James. Se moquant d’où venait l’enfant après l’avoir appris, il était prêt à l’élever comme le sien. C’est ainsi que Jessie, fut après 6 mois de doutes, finalement un enfant désiré. Un magnifique bébé aux grands yeux bleus, comme sa mère. Un magnifique bébé, né le 22 novembre 1989 après une course effrénée, 9 mois complètement surréaliste. La petite fille grandit dans un appartement en plein cœur de Seattle. Sa mère trouva un travail de serveuse et décida même de reprendre ses études pour devenir institutrice. La petite gamine ne manqua de rien, même en naissant en pleine époque du boom des consoles, telles que la Game-Boy. Déjà enfant, Jessie se montrait curieuse, posant des tas de questions, à rendre dingue ses parents. Ayant le contact facile avec les autres enfants dès la maternelle, elle eut vite d’être la copine d’un garçon, à cet âge là on imite toujours les adultes sans vraiment comprendre pourquoi. Alors qu’autour d’elle, ses amis avaient des familles recomposées ou tombant en morceau, elle pouvait se vanter d’avoir une famille parfaite. Enfin pas si parfaite que cela. Ses parents lui cachèrent longtemps que sa mère avait le Sida, attrapé peu avant la conception de la petite Jessie. Toutes ces prises de sang que la petite devait faire avaient toujours comme prétexte un bilan de santé, alors que bien sûr, c’était pour surveiller l’état de santé de Jessie, juste pour être sûr qu’elle n’ait pas le virus. Personne d’ailleurs n’était au courant de la condition de Nathalie, à l’époque le SIDA venait juste d’apparaître comme le nouveau fléau du siècle et était encore considéré comme un énorme tabou. Il y eut cependant un incident qui causa une grosse frayeur à la petite famille. Voulant aider sa mère en cuisine, Jessie s’était coupé avec le couteau que sa mère tenait avec elle. Cette image d’effroi, de peur dans les yeux de sa mère, Jessie ne l’oublierait jamais, même en ayant seulement 7 ans. Aujourd’hui quand vous lui demandez de vous raconter cet épisode de sa vie, elle vous racontera tout dans le moindre détail. Comment sa mère avait fondu en larmes, s’éloignant de sa fille, comment son père avait gérer la situation, comment au soir, il réconfortait sa femme, lui murmurant des mots pour la rassurer. La période latente du virus du SIDA est bien de 10 en moyenne avant que ne les symptômes se déclarent. Jessie était une élève studieuse, curieuse et qui aimait lire. Certes elle s’amusait, mais elle voulait savoir le plus de choses possibles, ce qui lui conférait une maturité précoce. C’est aussi parce que sa mère commença à tomber malade, que son père décida de lui expliquer. Dès lors, elle développa une obsession pour cette maladie, recherchant tout ce qu’on pouvait rechercher sur le sujet. On aurait souhaité meilleur départ dans le 21ème siècle pour une jeune fille aussi mignonne. S’inquiétant de la voir autant plongée dans ce travail, et voyant la peur de perdre sa mère, Nathalie décida de lui parler, lui faisant comprendre cette dure leçon de la vie qu’un jour vient où l’on doit dire au revoir aux gens qu’on aime. Jessie en voulut beaucoup à sa mère, sans véritable raison que celle d’être malade. Une entrée dans l’adolescence qui ne se fit pas en douceur, le 11 septembre 2001, les violentes guerres en Iraq, elle était d’une génération qui n’avait connu aucune guerre et qui se la prenait en pleine face. Mais étrangement le monde ne l’atteignait pas, elle ne changeait rien à ses habitudes d’ado et entrainée par divers mouvements, Jessie développa un étrange goût vestimentaire, faisant sa rebelle sans vraiment l’être, car niveau études, elle distançait de loin ses camarades…enfin, cela ne dura qu’un temps. Sa mère, après 5 ans à combattre sa maladie finit par rendre les armes. Cela affectait beaucoup Jessie qui regrettera toute sa vie de ne pas avoir été plus proche de sa mère. Emprise à beaucoup d’émotions, le deuil, la déception amoureuse (en effet son premier petit ami l’avait quitté) , et tous les doutes qu’a une jeune fille de son âge, Jessie tomba dans une profonde dépression. Ne mangeant guère, ne parlant guère, elle fondit à vue d’œil, et se réfugia dans un monde noir. Heureusement pour elle, il y avait son père, un père qui fit tout pour que sa fille aille mieux. Il la força à faire beaucoup de choses, ce qui entraina beaucoup de disputes, de paroles blessantes et après 2 longues années à combattre un ennemi invisible, Jessie finit par accepter d’une part la mort de sa mère, d’autre part, qu’elle devait avancer. Après avoir réussi son bac, Jessie eut beaucoup de mal à déménager. Son père était son seul repère avec quelques rares amies qui lui étaient restées fidèles et qui l’avaient soutenu tout au long de sa période à vide. Mais elle voulait faire des études supérieures, et ce n’était pas vraiment à Seattle (bien qu’il y ait une université) qu’elle voulait faire sa formation. Elle chérit cependant le temps passé avec son père à peindre, s’installer, dans son nouveau chez-soi, tout en promettant de garder un contact régulier avec ses proches. C'est donc à Portland où elle commença un nouveau chapitre de sa vie. la vie d'étudiante avait un côté excitant et très libérateur. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait sans que personne ne le sache, sauf ceux sur facebook ayant mis des photos d'elle sur leur profil XD. C'est sur le campus qu'elle rencontra son nouvel amour, un étudiant en psychologie avec qui elle entretiendra une relation houleuse et comparable à des montagnes russes qui se terminera très mal et qui forcera Jessie à retourner à Seattle pour continuer ses études de médecine.

« VIE DEPUIS L'IMPULSION » 20 ans. L’âge « presque » majeur légal aux USA et dans bon nombre de pays du monde entier. Jessie n’avait pas attendu cet âge pour jouir des plaisirs de la vie, après tout une bière ne pouvait pas faire de mal. Cependant, étant une fille sérieuse, même si elle ne le montrait pas souvent, elle avait déjà à cet âge entamé la formation de son futur emploi. Au grand dam de son père qui même s’il approuvait qu’elle s’intéresse au milieu hospitalier, aurait préféré que sa petite princesse s’oriente vers une autre spécialité. En effet, miss Reaves avait choisi de devenir médecin-légiste. Tout ceux qui lui demandait pourquoi recevaient la plus sensé des réponses : On ne peut pas tuer les morts. Jessie voulait être médecin, mais elle avait peur de travailler sur les vivants, de commettre une erreur, de blesser un autre être humain, alors elle avait choisi d’aider les morts et parfois même leur famille en prenant soin des corps. C’est dans le cadre de son stage que lors de l’impulsion, ce fameux jour de l’an 2009 , elle se trouvait dans la morgue, à travailler sur une victime d’un incident de la route. Elle était en stage et alors que la plupart avaient pris leur pose à 13 :00, elle se retrouva donc dans le noir. Alors que dans la morgue tout était calme, presque mortellement calme, elle entendit dehors, des cris, des sirènes. Se frayant un chemin dans les couloirs sans fenêtre, en veillant à ne pas tomber ou heurter quelqu’un, elle se retrouva dehors et resta immobile , regardant les gens courir dans tous les sens, ne comprenant pas ce qui venait de se passer, mais étant sûr que ce n’était , mais alors pas du tout bon signe. Elle réussit à arrêter un policier qui lui expliqua qu’ils avaient été victime d’une attaque terroriste à l’échelle pratiquement continentale et que plus rien ne marchait. Instinctivement, Jessie rentra directement chez son père, ne pouvant pas lui téléphoner pour savoir si tout allait bien. Le père de Jessie vivait dans la maison de ses parents, maison dont il avait hérité à leur mort et qui avait été un magnifique chez soi. Les jours qui suivirent l’attaque, Jessie ne sortit pas de chez elle, préférant de rester avec son père, une oreille pendue à la vieille radio des années 20 qui était la seule source d’information. C’est ainsi qu’elle apprit pour l’impulsion et le chaos total qui régnait aux états unis. C’était encore pire que le 11 septembre, car les Etats-Unis étaient complètement HS et les gens devaient tout reconstruire. Reprendre sa vie après l’impulsion avait été surréaliste. Jessie n’était pas emballée de laisser son père seul, mais lui, comme elles, avaient des obligations. Rapidement le problème qui se posa fut de laisser la maison sans surveillance. Beaucoup de personne ayant tout perdu, les pillages, cambriolages et agressions avaient connu un boom macabre en l’espace de quelques mois, plongeant la ville dans une anarchie du crime. Elle entendait des histoires de son père, lui racontant combien de blessés, et morts arrivaient chaque jour aux Urgences, quant à elle, elle était même en tant qu’étudiante, réquisitionnée pour aider à gérer l’afflux de victime. La morgue était pleine et avec la coupure de courant, elle sentait la putréfaction, étant donné que les congélateurs ne fonctionnaient pas et que le corps en décomposition dégageait des gaz qui donnaient envie de vomir. Devant la situation, il fallait incinérer les gens, le plus vite possible pour ne pas que des maladies se propagent par les morts. Ce n’était pas le job primaire de Jessie, mais devant la saturation des compagnies de pompes funèbres, les morgues devaient vider les locaux. C’est ainsi que naquirent en bordure de ville ces grands fours, dont la fumée se propageaient à des kilomètres. A chaque fois que la jeune femme allait déposer des corps, elle avait l’impression d’être dans la Peste de Camus ou devant ce que les Nazis avaient fait. Cela sentait la mort, et à force, elle sentait également la mort. Une situation difficile, surtout au vue de ce qui se passait. Mais comme tout, ça se tasse. Après la première année, un certain équilibre était revenu. Jessie avait connu 2 sortes de vie, celle baignant dans la grande technologie et un style de vie où l'on manque de rien, et celle n’ayant pratiquement rien d’autre que ses mains pour travailler et pouvoir subvenir à ses besoins.. L’avantage de son travail , c’est qu’on lui donna son doctorat plus tôt que prévu, car il y avait un manque en résident et elle devait déjà former la nouvelle génération. Une situation extraordinaire qui lui permit de gagner assez bien sa vie, et par assez bien, cela voulait dire garder la maison intacte et avoir assez pour acheter de quoi se nourrir et se chauffer. Son père aussi ne s’en sortait pas mal, mais après 7 ans, cela ne devenait plus possible de garder la maison, le quartier se dégradait de trop. Père et fille décidèrent donc de se partager les frais de la vente, qui fut une vache maigre, mais assez pour s’acheter 2 appartements dans un secteur plus sûr. L'idée de quitter les Etats-Unis pour s'installer dans un pays européens traversa à de nombreuses reprises l'esprit de Jessie, surtout quand certains jours, elle voyait l'horrible vision du monde et que son moral était au plus bas. Mais quelque chose la gardait enchainé aux Etats-Unis. Elle se sentait responsable, responsable de ses amis, de son père, des corps , des familles...elle portait un poids exagéré sur ses épaules, elle le savait, mais elle aimait Seattle, elle voulait que les générations futures connaissaient cette belle ville qu'elle avait connu. Certes, elle pensait cela, mais ne voulait pas avoir d'enfants, elle ne voulait pas imposer la situation actuelle à une pauvre âme innocente. 10 ans après la tragédie qui s’est abattu sur les Etats-Unis, la routine était revenue. Les gens avaient changés, Jessie avait changé, elle était devenue une femme de son temps, une femme qui avait survécu et tiré le meilleur de la situation. Loin de ce qui se passait à Monticore, elle connaissait en 2020 sa propre tragédie. Après tant d’années à emprunter le même chemin, certes toujours accompagné, le sort décida que c’était à son tour de souffrir personnellement. Alors qu’elle rentrait chez elle, elle fut agressée par 3 hommes. Combien de fois avait-elle reçu un corps d’une personne ayant été sauvagement battue, violée, dépouillée…et en cette nuit de cette année là, c’était son tour. Pendant que son corps était le terrain de jeu de la cruauté de ces hommes, son esprit s’enfuyait vers des pensées étranges. Elle se demandait comment on la retrouverait, qu’est-ce qu’on penserait en la voyant à la morgue, elle était sure de mourir ce soir là…et pourtant, ce ne fut pas le cas. Elle eut de la chance dans son malheur, car un homme vint à son aide et bien que les dégâts causés étaient déjà bien là, physiquement comme mentalement, il lui sauva la vie. Jessie ne put être d’une grande aide pour la police, et d’ailleurs cela n’avait pas d’importance. Elle aurait été prête à se confronter à ses agresseurs, mais dans une société corrompue emprise au crime, une agression de plus ou de moins, qu’est-ce que cela peut bien faire. Elle ne partagea pas ses peurs, elle assista en fait passivement à sa propre convalescence. Laissant son père s’énerver, ses amis s’indigner et le temps guérir ses blessures. Elle ne voulait pas être une victime, vivre dans la peur, elle voulait juste continuer comme si de rien était, oublier et continuer. Cela ne veut pas dire qu’elle n’a pas changé certains comportements. Elle reste rarement seule dans la rue, elle a toujours une arme dans son sac depuis et elle a appris comment se défendre pour s’enfuir. En outre la relation avec les hommes se fait un peu plus prudemment qu’avant et souvent elle renonce à des relations amoureuses, car avoir des relations intimes ne la branche plus tellement. Une sorte de douleur fantôme qu’elle cache derrière une façade souriante. En reprenant le travail, quelques mois avant l’annonce officielle du gouvernement que des personnes transgéniques évoluaient parmi la population, elle a reçu un corps ayant un tatouage bien étrange sur la nuque. Sur le coup elle n’avait pas réalisé, mais après l’annonce, elle avait directement fait le lien, ce qui la plongea dans un sentiment très étrange, car ce mort n’était pas le seul chez qui elle avait vu cette sorte de tatouage. Depuis, elle reçoit souvent la visite de représentants de la NSA, étrangement ils mettent toujours un point d’honneur à récupérer les corps de ces gens.

« PERSONNALITÉ » Jessie est une jeune femme assez facile à comprendre. Elle a la parole facile et est agréable en conversation. Elle a très peu de préjugés, mais quand elle en a, elle a des difficultés à en sortir. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle campe sur ses positions dans une argumentation et finit par réaliser qu’elle avait peut-être tord après coup. C’est quelqu’un de très loyal qui emportera n’importe quel secret jusqu’à dans sa tombe. Elle peut se mouiller, se sacrifier même, pour ses amis ou sa famille , mais n’est pas capable de faire entièrement et aveuglement confiance à quelqu’un de peur d’être blessée ou qu’on use d’elle. Elle veut se faire passer comme forte, mais en fait elle est une poupée mal recollée. Elle tente de savourer la vie, elle fait des efforts pour rire, pour être bien dans sa peau, mais même si elle donne l’impression d’avoir du charisme, elle est timide sur certains bords et a du mal à gérer ses démons. Son pire défaut c’est bien ce déni, mais aussi le fait qu’elle soit un peu susceptible. Elle a de l’humour et comprend l’humour, mais parfois il arrive qu’elle le prend mal. Rarement fâchée, quand cela arrive, elle risque de longtemps bouder, mais une petite attention ou un mot doux et elle fera un sourire qui trahira le fait qu’elle n’en veut plus vraiment à la personne concernée. Humaniste et altruiste, elle est sensible aux sorts des gens, mais comme beaucoup, ce qu’elle fait pour aider est loin d’être un engagement complet. Elle ne parle à personne de sa mère morte du SIDA, ni de son agression, même pas avec les personnes qui sont au courant. Elle tient à garder cela pour elle et faire comme si rien n’était arrivé.

« PHYSIQUE » Jessie est une jeune femme aux yeux bleux et aux cheveux châtains. Elle a eu différentes coupes dans sa vie, avant de préférer une coupe mi-longue avec une demi-chienne. Elle a un visage de poupée, ou de blanche neige, le teint assez pâle, des lèvres pulpeuses toujours avec un teint rosée, elle donne l’impression de sortir d’un conte pour enfant. Assez élancée, elle porte rarement des hauts talons. Elle préfère les pantalons aux jupes, mais seulement parce que c’est plus simple de courir avec un jeans qu’avec une jupe. Son style est semi-classique, semi-décontracté, elle aime les pulls à col V, les tuniques avec leggings, les bottines. Elle ne porte pas beaucoup de bijoux, mais ceux qu’elle porte sont ces bijoux qu’on trouve dans les grandes surfaces vestimentaires, du semi-tribal, semi bling bling. De son agression, elle garde diverses cicatrices qu’elle s’efforce de garder à l’abri des regards, ce qui explique qu’elle se met rarement en maillot ou bikini et ne restera pas en lingerie devant son petit-ami, parce qu’elle ne supporterait pas son regard sur elle. Dans son travail, elle porte la blouse que quand elle doit pratiquer une autopsie, le reste du temps, elle est habillée normalement en ayant cependant les crocs typiques du milieu hospitalier. C’est d’ailleurs pour cela qu’on la confond souvent avec la secrétaire, parce qu’elle a tendance à trainer un peu trop au bureau en train de manger.

« ET LES TRANSGÉNIQUES ? » Jessie est neutre par rapport aux transgéniques. Elle ne les considère pas comme des monstres ou une menace, juste des gens qui n’ont pas eu de chance et qui essaie de vivre comme tout le monde. Le caractère agressif, elle l’a vécu chez l’être humain et ne trouve pas cela une raison pour cette chasse aux sorcières, car sinon il faudrait commencer par leur race avant de s’intéresser aux OGM. Si on lui demande, elle s’arrangera toujours pour donner une réponse fragmentaire pouvant être interprétée de multiples façons, ainsi elle ne ment pas. Il lui arrive de soigner des transgéniques, une morgue est un endroit tranquille pour échanges de fournitures et soins. Ce travail underground elle le fait bien sûr en toute illégalité et préférait ne pas avoir à le faire, mais étant médecin, même si c’est pour les morts, elle s’oblige à le faire, surtout qu’elle sait que la plupart des transgéniques ne vont pas à l’hôpital de peur de se faire prendre. Si on votait l’intégration des transgéniques, elle dirait sans doute oui à certaines conditions, car une partie d’elle, reste quand même sceptique concernant ces hommes et ces femmes. Notamment parce que personne ne sait ce qu’un ADN aussi manipulé peut apporter comme surprise.

« RELATIONSHIPS » James Reaves - Son père. Elle est très proche de lui et lui doit beaucoup. Durant les premières années après l'impulsion, ils se sont entraidés et protégés l'un l'autre. Infirmier de profession, il n'a jamais visé d'être médecin, et croulant sous le travail , il ne s'est jamais plaint. Il a transmis à sa fille ses valeurs et lui a permis de s'épanouir. Il ne s'est jamais remarié, bien qu'il ait fréquenté des femmes après Nathalie. Alec Stamps - C'est lui qui lui a sauvé la vie il y a 2 ans en faisant fuir ses agresseurs avant qu'ils ne l'achèvent. Arrivé trop tard cependant pour éviter coups et blessures, il l'a emmené à l'hôpital. Elle a eu du mal à le retrouver, car pour une raison qu'elle ignore, il se fait très discret.

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« Vous » » Votre pseudo ; Dribbly » Âge et sexe ; un nombre à 2 chiffres , F. » Personnalité sur l'avatar ; Liv Tyler » Comment avez-vous découvert le forum ? ; par un e-mail » Comment le trouvez-vous ? ; DA quoi XD » Quelques remarques ? ; » Code du règlement ;



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