(c) Elya

« CARTE D'IDENTITÉ » [] Personnage Vacant ; [X] Personnage Inventé » NOM ; Stamps » PRÉNOM ; Alec » MATRICULE ; X5-350 » ÂGE ; 22 ans » SÉRIE ; X5 » GROUPE ; Transgéniques Libres » OCCUPATION ; Futur Coursier au Fast Horse

« VIE À MANTICORE » Sharon était le genre de personne vivant au dessus de ses moyens et ne souhaitant pas faire une croix sur ses petites dépenses. Devenir une mère porteuse lui enleva neuf mois de sa vie mais, en aucun cas, elle ne le regretta en vue de la compensation financière qui suivit son accouchement de X5-350. Bien trop accrochée à l’argent qu’elle allait recevoir, elle ne se montrant pas désireuse de voir l’enfant, accouchée n’était qu’une corvée à accomplir pour pouvoir récupérer quelques billets qui lui assurerait de se payer quelques paires de chaussures et de faire des heures de shopping. Voilà comment est né un nouvel arrivant de la série X5 qui, malheureusement, n’était pas une situation exceptionnelle. Une naissance qui fut à l’image de la froideur de son enfance, entouré de pédiatre qui n’étaient là que pour faire leur travail. De toute façon, il ne conserve pas de souvenir de sa naissance et encore moins de ses trois premières années mais, inconsciemment, il a sûrement été formater dans un monde qui lui paraissait logique et unique. L’absence d’amour parentale, ou intention délicate de pédiatre, ne fut pas un manque dans sa vie étant donné qu’il n’avait pas la moindre conscience de ce que cela pouvait être. Les premiers souvenirs de son enfance ? Il ne serait dire de quand cela date, tout était tellement mesuré et monotone, les journées étaient toutes les même, comment savoir de quand ses souvenirs dataient réellement ? Comme chaque X5 il fut attribué à une unité d’une vingtaine d’enfant comme lui, tous mélangés dans un dortoir impersonnel – ce qui ne le dérangeait pas, n’ayant connu que ça -, tous habillés de la même manière, tous coiffé de la même façon, tous possédant leur matricule sous forme de code barre sur la nuque de manière parfaitement visible. Étonnement, alors qu’aucun d’eux n’avaient connus l’affection ou l’amour d’un proche, la vie en communauté les rendit tous solidaire d’une certaine façon, chacun veillant sur les autres. Une façon de voir les choses sûrement insuffler par le X5 qui était nommé comme leur chef. A force de veiller sur eux, tous les autres faisaient la même chose avec les autres membres de l’unité. Mais ces relations n’avaient rien à voir avec ce que pouvaient connaitre les humains, vivant dehors et ayant grandi dans un tout autre objectifs, leurs relations étaient muette comme un accord tacite entre eux. Les bavardages n’étaient pas vraiment de mise à Manticore, tout se passait par un regard, un signe, une expression. Ce qui était d’autant plus appréciable que cela changeait vraiment de leur quotidien qui ne laissait guère de place aux « surprises ». Les journées allaient au rythme de cours sur l’obéissance, la rigueur et toutes ses notions bien militaire parce que, il faut bien le dire, le but de ces enfants étaient d’en faire de bons petits soldats. Et, à ce niveau, on peut dire que Manticore savait y faire. Jamais il ne vint à l’esprit de X5-350 que ce qu’il apprenait était du bourrage de cerveau, ça lui semblait être quelque chose de naturel. Tout comme le fait de passer des heures à faire du sport, à s’entrainer au combat, à passer de longues minutes sous l’eau pour apprendre à garder son souffle le plus longtemps possible. Dire que tous ses exercices étaient faciles serait un mensonge mais, le X5 n’avait aucune idée de la dureté de cet enseignement et de ces méthodes qui pourraient faire bondir un esprit biblique ou censé. Certains exercices consistaient même à des chasses à l’homme. Souvent entre eux, avec des armes qui ne leur permettaient pas de se tuer mutuellement mais, parfois, il chassait de véritable humain. Les armes à blanc, dans ce genre de cas, étaient bien sur changé contre de vraies armes. Bien que, souvent, on ne leur donnait même pas d’arme – contrairement à l’humain en fuite – afin d’y mettre un peu plus de difficulté. Ce genre d’exercice n’était pas ce qu’il préférait. En réalité, ce n’est pas qu’il aimait ou n’aimait pas, ça lui était, juste, complètement indifférent. On lui demandait de le faire, il le faisait. C’était son rôle et il devait obéissance, comme on lui avait si bien apprit en cours depuis qu’il était en âge de comprendre quelque chose. Les libertés n’étaient pas nombreuses, mais peu importe quand on n’en a pas conscience, et très bien encadré. Cependant, ces bref moments étaient appréciable. Il avait neuf quand, pour la première fois, leur chef d’unité avait parler de prénoms. Ces mots dont les adultes s’appelait plutôt que d’une suite de chiffre. X5-350 avait toujours trouver étonnant cette façon de s’appeler, au moins leur code avait une certaine logique, dans les prénoms, pas du tout. Mais il ne vit pas d’objection quand le nom d’Alec lui fut donné. Et, étrangement, il s’y fit même très vite en trouvant ça agréable. Mais peut être que ce côté agréable venait du fait que, pour la première fois, ils avaient tous quelques choses entre eux qu’ils cachaient au personnel de Manticore. Un petit goût d’interdit même si cette notion restait des plus inconsciente n’ayant pas été élever avec cette idée de rébellion, aussi infime soit-elle. Son enfance ne le dérangea pas, il avait été élevé de cette manière et, très vite, il allait même la trouver agréable et regrettable suite aux évènement de 2010. 14 Février 2010, en pleine nuit, le son des alarmes mit toute l’unité sur pied, alerte. Mais ils furent très vite enfermés dans leur dortoir, sans possibilité d’en sortir pendant que, de dehors, ils entendaient le bruit des moto-neige, des chiens. Des ordres étaient hurlés de temps en temps. Très vite, ils apprirent qu’une unité de X5 avait fuit les lieux, ce qui semblait impensable. Pourquoi vouloir du seul endroit que l’on connait, quand on ne sait pas ce qui se trouve dehors ? Mais on leur empêcha rapidement de se poser cette question en les transférant en sous sol, leur promettant un tas de choses horrible si l’idée leur venait de vouloir faire la même chose. Si jusqu’à présent, Alec trouvait que les entrainements et cours n’étaient pas tous d’une facilité déconcertante, il comprit bien vite que ce n’était rien à côté de ce qui les attendaient. Jamais il n’avait vu sa vie comme un enfer – notion complètement subjective pour lui – étant donné qu’il n’avait connu que cela. Mais vu que tout redoublait d’intensité, cours, entrainement, méthodes beaucoup plus rude, il eu enfin un léger point de comparaison. Leurs vies étaient pires depuis que certains membres d’une unité de X5 avaient réussis à fuir. Et si ça pouvait être pire, c’est que cela pouvait être mieux, aussi. Même bien mieux que ce qu’ils avaient connus en premier lieu. Une pensée qui lui était bien trop propre, selon lui, pour qu’il se risque à l’émettre à voix haute à qui que ce soit, l’instinct de survie était une chose à ne pas négliger dans le cocktail de leur ADN, en bonne partie, félin. Et, avec cette première pensée qui lui était propre, une autre surgit bien vite. De la colère. Celle-ci était dirigée vers l’unité qui avait fuit, parce que ce n’était que de leur faute à eux si tout était devenu encore plus invivable que ce que ce n’était à la base. Diriger cette colère contre le personnel de Manticore ne lui traversa même pas l’esprit. C’était l’unité de X5 qui avait défiée les ordres, les règles, la faute était sur eux. Et rien qu’eux. Janvier 2020, X5-350 vient d’avoir 20 ans, et est envoyé sur sa première mission visant à assassiner un homme. Les raisons lui importent peu, il ne cherche même pas à les connaitre. C’est un ordre, il y obéit, un point c’est tout. Sa mission fut une réussite mais un imprévu se fit pendant qu’il était en dehors de la base : sa rencontre avec Lexa. C’est elle qui l’a, d’abord, identifier comme une série X5, à cause du code barre qu’il portait et qu’il ne cachait pas. Une discussion s’en suit sur une éventuelle désertion de la part d’Alec, de liberté et de toute ses notions dont il n’avait même pas conscience. D’ailleurs, il ne prit même pas en compte ce qu’elle pouvait lui dire, parce que à cause de son envie de liberté et de voir le monde, elle avait – elle et son unité – rendu la vie de tous les autres pire que ce que c’était avant. Faut dire qu’il avait eu dix ans pour refouler cette colère qu’il ressentait envers cette unité qui avait fuit alors, sans le lui cacher, il repartit à la base en jurant de la dénoncée. Juste histoire qu’elle comprenne ce que sa liberté avait coûté aux autres qu’ils avaient tous abandonné juste pour leur soif de liberté. Mais voilà, une fois rentré à la base, il fut incapable de parler de Lexa. Il lui en voulait, c’était indéniable, pour ce que tout avait engendré pour les restants. Mais si il lui en voulait de ce qu’elle avait fait, était-il, seulement, en droit de la dénoncé pour lui imposer ce qu’elle, et les siens, lui avait imposé à lui, et à tous les restants ? Et, puis, il y avait autre chose qui l’empêchait de parler d’elle mais, là, il était incapable de comprendre ce sentiment étrange qui ne lui donnait pas du tout envie de dire où elle se trouvait. Les doutes étaient une chose à ne surtout pas avoir alors, de peur de subir un lavage de cerveau, il s’assura de mettre tout ça de côté. Le personnel de Manticore commençaient à avoir de sérieux doute à son sujet mais ils n’eurent pas le temps de faire quoique ce soit. Le 17 mars 2020 fut la fin de Manticore, ce qu’il ignorait au début. Quand il avait entendu les alarmes, il pensa juste au fait que les choses recommençaient… Encore une fois. Sauf que, cette fois, il y eu quelque chose de différent. Le problème ne venait pas de l’intérieur mais de l’extérieur. On détruisait le centre. L’espace d’un instant il se demanda ce qu’il devait faire : aider Manticore et luter contre les gens venant de l’extérieur, ou fuir comme on était en train de leur donné l’occasion ? Quand, pendant 20 ans, on vous apprend le devoir, la loyauté, l’obéissance, le premier réflexe est de défendre la base que l’on se doit de considérer comme attaqué. Oui, mais voilà, les paroles de Lexa avaient fait leur petit bout de chemin, comme son idée de condition de vie meilleure. Pourquoi ne pas tester ? Il fit comme la plus part des autres : il prit la fuite. Dans la forêt, il croisa Lexa qui, rapidement lui proposa de l’aide, une place de coursier au Fast Horse, de l’aide pour apprendre la nouvelle vie qui s’annonçait. Sans même une hésitation, il refusa. D’une il lui en voulait toujours, comme au reste de son unité. De deux, il avait sa fierté, si elle, elle avait réussit, il n’y avait pas de raison que lui ne puisse pas. De trois… Il ne la suivrait pas, elle était responsable de trop de chose et s’était bien suffisant ! Il partit donc de son côté.

« VIE DEPUIS QU'IL S'EST ÉCHAPPÉ » Si il avait refusé l’aide, et proposition de Lexa juste par fierté, il se serait vite mordus les doigts. Plutôt deux fois qu’une, même. L’avantage de sa vie à Manticore, c’est qu’il apprenait très vite et qu’il savait s’adapter. Mais tout était tellement différent de sa vie précédente, qu’il avait l’impression qu’un tas de choses lui échappaient constamment. C’était sûrement stupide, mais répondre à des ordres donnait un certain sens, et but, dans sa vie. Il savait ce qu’il devait faire, sans qu’il s’inquiète des raisons. Là, tout était différent et l’adaptation pas si facile que cela. Il ne s’agissait pas d’une mission où il retrouverait la base après, mais de rester dans ce monde qui lui était inconnu. Les gens se plaignaient de leurs changements de vie après l’impulsion. Et lui, qu’est ce qu’il devait dire ? Une notion qui pouvait paraitre évidente pour tout le monde, mais moins pour lui, toute bête était, par exemple, qu’on ne tuait pas quelqu’un simplement parce qu’il vous semblait hostile. Une notion assez compliqué à acquérir, une personne qui lui paraissait être un ennemi, pour une raison ou une autre, devait être neutralisé définitivement. Mais non, pas dans ce monde. Autant dire que son sens moral n’était pas le même que la majorité des humains. Utilisé ses capacités, ainsi que ses entrainements ne devaient pas non plus se faire en public. Ca, il le comprit bien vite, le but étant de ne pas porter l’attention sur lui. Instinct de survie et enseignement qui visait à se fondre dans la masse plutôt que de se faire remarquer. Cependant, son sens moral étant bien différent, il profita du chaos de l’impulsion pour s’improviser voleur. Il avait les gènes pour, alors pourquoi s’en priver alors que c’était d’une facilité déconcertante. Dans la foulée, il oublia la coupe militaire qui laissait son code barre bien trop visible. Sa plus grande difficulté étant de passer d’une zone à une autre, sans avoir de passe pour, d’éviter la police qui patrouillait de diverses manières continuellement. Plus d’une fois il songea à l’offre de Lexa, mais c’était impossible d’accepter. Toute cette situation était sa faute – à défaut d’accuser les autres qu’il ne connaissait pas – non seulement, après leur évasion la vie à Manticore s’était durcie, mais maintenant ils se retrouvaient tous en pleine nature sans trop savoir ce qu’ils devaient faire ou non. Après un petit temps d’adaptation il trouva bien vite une collocation, histoire d’avoir un toit fixe. Il n’effaça pas son code barre, mais les cachait à l’aide de veste, dont le col était relevé et s’efforçait de faire profil bas préférant la vie de nuit afin de pouvoir agir avec plus de discrétion. Il en apprenait tous les jours sur cette nouvelle vie mais, pas aussi vite que si il avait eu l’aide d’une personne qui était dehors depuis dix ans. Cependant, il estimait commencer à s’y faire, quand tout bascula à nouveau. Avril 2022, une simple annonce. Les humains n’étaient pas seuls. Ils furent informés des transgéniques dans leurs vies. Autant dire que le climat passa bien vite à la méfiance et à la dénonciation. Les contrôles plus fréquents, les patrouillent aussi. Et, une fois de plus, Alec se sentit un peu dépasser. Qu’il le veuille ou non, il n’avait aucune envie qu’on le récupère ou même qu’on l’exécute. Cette vie n’était pas parfaite, il avait encore plein de choses à apprendre mais, il y tenait. Colère et fierté mit de côté pour une question de survie, il ne lui restait plus qu’une option. Quel endroit avait-elle dit, déjà ? Fast Horse…

« PERSONNALITÉ » Si il y a bien un truc qu’il a apprit en sortant de Manticore, c’est que le charme pouvait venir à bout de beaucoup de chose. Et puis, ce n’est pas comme si on le lui avait pas apprit à plaire à de potentielle victime. Alors il a adapter ce concept dans sa vie, ce qui fait de lui quelqu’un de plutôt dragueur, bien que charmeur est un terme qu’il préfère au premier. Le fait qu’on ne choisisse plus pour lui avec qui procréer, qu’on en oublie même cette notion, est un des plaisir qu’il à su mettre à profit depuis qu’il s’est échappé de Manticore bien que, au début, c’était surtout pour s’assurer un toit sur la tête pendant une ou quelques nuits. Mais Alec reste quelqu’un d’élever pour manipuler et accomplir un but précis, ce qui le rend, à priori, hermétique à tout ce qui peut ressembler à des sentiments. Tout cela ne reste des aventures que d’un soir et il pense être bien incapable de plus. Comme sûrement beaucoup de personne venant de Manticore, Alec est quelqu’un de méfiant. La dernière révélation n’a rien fait pour arranger les choses vu que tout le monde devient, potentiellement, quelqu’un susceptible de le dénoncer. Il est donc très difficile pour lui de se lier à qui que ce soit, car incapable d’accorder sa confiance. Le monde entier est un endroit semer d’ennemi dont il faut se méfier et être capable de neutraliser au moindre doute. Bien que, plus ça va, et plus il préférera s’éloigner d’une personne dont il doute plutôt que de s’assurer d’un silence définitif. Tuer ne lui parait pas être quelque chose de grave en soit, mais ce n’est pas pour autant qu’il apprécie. Par contre, une fois sa confiance accordé, Alec devient quelqu’un de très loyale et de très protecteur. Les gens qu’il apprécie réellement ne sont vraiment pas nombreux, deux mains suffirait largement à les compter, du coup il estime qu’il faut tout faire pour les préserver et les protéger quoiqu’il en coute. Paradoxalement il peut être très proche de quelqu’un mais rester très secret sur sa vie, afin de préserver son secret pour la sauvegarde de la personne ou simplement parce qu’il n’a pas envie de passer pour un monstre. Alec, qu’il aime ou n’aime pas, peut se montrer cynique, le plus souvent. On aime ou on n’aime pas. Son humour assez à froid peut paraitre étrange quand on ne le connait pas. Cependant, il ne compte pas vraiment changer sur ce point. Et puis, le cynisme est une manière d’éloigner, déjà, un bon tas de personne. Avec les gens qu’il apprécie, ce cynisme se transforme la plus part du temps en un ton taquin, charrieur. Bref, il aime bien lancer des pique avec un ton plus ou moins différent selon la personne à qui il s’adresse et à quel point il l’apprécie ou non. Étrangement, malgré la discipline qu’on lui à inculquer, Alec n’est pas quelqu’un qui apprécie que tout soit calculer. Il agit beaucoup sur des coups de tête, ou fera une action juste parce qu’il la trouve « fun » ou qu’elle mettra un peu d’action. C’est pas vraiment ce qu’on fait le mieux quand on doit chercher à rester discret mais, dans le fond, il doit avoir un côté hyperactif qui l’oblige à se trouver toujours de nouveaux défis à mettre en place. Son plus gros défaut restera sûrement sa fierté. Mise à mal, il pourra se montrer très désagréable. Il préfère croire que ce côté est causé par ses gènes, mais rien n’est moins sur. Il peut paraitre sur de lui à tout moment, même si ce n’est pas vraiment le cas, ce qui peut le faire passer pour quelqu’un de prétentieux, d’hautain, ou qui se fou de conséquences de ses actes. Mais allez lui dire et, juste pour contredire, il sera capable de faire encore pire, sa fierté en prenant sûrement un coup il aura besoin de se rassurer lui-même.

« PHYSIQUE » Son physique ? Toutes les chances ont été mises de son côté, sûrement un des avantages d’être le résultat d’un travail sur l’ADN. Hors de question que le visage d’un X5 provoque la peur ou le dégoût. Du coup, Alec se trouve être un brun, au regard bleu perçant, un brin ténébreux qui lui donne sûrement une bonne partie de son charme. Sa peau ne comporte pas de défaut, tout devait tellement être parfait quand on nait du résultat d’une éprouvette de Manticore. Il a, cependant, changé quelques détails. Ses cheveux bruns, ne sont plus coupé court, laissant une petite longueur lui permettant de mettre son code barre à l’abris des regard indiscret. Cheveux qui finissent souvent en bataille plutôt travailler. Quand à son visage, c’est souvent qu’il se laisse une barde de deux trois jours, cherchant au maximum à casser une image de soldat durement entrainé. Il passera sûrement pour une personne qui entretien son corps, même si c’est vrai dans une certaine mesure, le tout lui vient surtout de ses gènes et de son entrainement intensif à Manticore. Sans avoir l’air de peser des altères à longueur de journée, il est possible de s’en rendre compte qu’Alec reste une personne musclé. Un semblant de carrure qi va parfaitement bien avec son mètre quatre vingt. Pour ce qui est de ses habitudes vestimentaires, Alec apprécie pouvoir avoir une certaine classe. Mais cela passera toujours dans un jean lui allant parfaitement bien, rehausser le plus souvent par une veste en cuir noir, qui va très bien à son visage. Même si il estime ne pas en avoir besoin pour des questions de chaleur, il lui arrivera régulièrement de mettre un haut col roulé de manière à cacher son code barre bien que, depuis l’annonce, il le fait de moins en moins estimant que cela pourrait trop attirer l’intention de personnes désireuses de pouvoir dénoncer un transgénique.

« CAPACITÉS » Si il venait à parler ouvertement de ses capacités, il citerai, sans hésitation, son plus gros problème : un taux de sérotonine trop faible. Quand on cherche à faire de parfait soldat, créer une erreur de cette taille est assez compliquer à vivre. Tout pourrait être parfait et Alec sait très bien ou se situe ses capacités, mais s’avouer une faiblesse de cette taille est une chose qu’il ne vit pas forcément bien. Si il venait à avoir une crise – et ça arrive plus souvent que ce qu’il voudrait – il se retrouve vulnérable, sans rien pouvoir faire et cela ne lui convient absolument pas. Les crises peuvent être calmé, et il reste un accro au tryptophane mais, en plus d’être dur à trouver, ce médicament devient vite un signe prouvant sa nature. Ce qui rend la tache encore plus difficile. Dans les autres défauts, il citera se code barre qui refuse de s’effacer comme un simple tatouage et lui donne un signe distinctif, ainsi que la nécessité à ne pas se retrouver à faire une analyse de sang. Si le fait d’être rempli de cellule souche peut être une bonne chose, cela peut rapidement se retourner contre lui le mettant directement dans la catégorie des : non humains. Cela dit, les cellule souches sont une véritable aide en cas de blessure, lui permettant de guérir plus vite d’un humain normal. Bref, comme toutes les séries X, Alec est capable de porter jusqu’à trois fois son poids, il fait preuve d’une agilité et d’une rapidité impressionnante. L’agilité est une chose qu’il a particulièrement aimer développer, surtout dans les exercices visant à éviter des balles. Une activité qu’il a préféré à la force, par exemple, il sera capable de porter une charge lourde mais peut être avec plus de difficulté qu’un autre transgénique. Son taux de sommeil ne l’inquiète pas, il ressent rarement la fatigue, très peu souvent même. Avantage de son cocktail ADN et de ses entrainements. Cependant il n’est pas, non plus, infaillible. Son seul regret ? Avoir à dépenser des fortunes pour espérer ressentir, ne serait-ce qu’un peu, les effets de l’alcool. Une bonne cuite doit avoir quelque chose de fortement agréable, quand on à pas à dépenser une somme exorbitante. Cela dit, vu que ça l’immunise aux autres poison et drogue, il ne va pas non plus s’en plaindre beaucoup.

« RELATIONSHIPS » Lexa : Rencontré pour la première fois début 2020, elle lui a parler de liberté, de quitter Manticore, chose qu’il n’a pas voulu entendre. Faut dire que depuis l’évasion de l’unité à laquelle elle appartenait, Alec à eu dix ans pour leur en vouloir. A cause d’elle – vu qu’il n’a vu qu’elle – les conditions de vie de tous les résidents de Manticore se sont vus empirer. Alors oui, il lui en veut. Il lui en voulait tellement qu’il l’informa du fait qu’il irait la dénoncé à son retour de mission… Il en sera, finalement, incapable. Il l’a recroisera une deuxième fois quand elle est venue – avec d’autre – détruire Manticore. Là, elle lui proposa de l’aide, lui parla d’un boulot pour Fast Horse. Mais il refusa pour les même raisons. Mais aussi par fierté. Une fois livré à lui-même dans Seattle il trouva une raison de plus de lui en vouloir. Parce qu’au début cette nouvelle liberté avait surtout un goût d’enfer avec l’adaptation que cela entrainait et, une fois de plus, s’était de sa faute. Trop sympa de faire sortir tout le monde pour les laisser à la merci de ce monde pratiquement inconnu. Puis quand l’annonce tomba, en 2022, il prit la décision de reconsidérer l’offre de Lexa en se souvenant de l’endroit qu’elle avait nommé. Pas qu’il ne lui en veuille plus, ou qu’il ne nourrisse plus aucune colère vis-à-vis d’elle, mais elle possédait une expérience qu’il n’avait pas. Et la survie prime sur la fierté, non ? Other ?

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« Vous » » Votre pseudo ; Grande toi (^^), Lily » Âge et sexe ; Plus de 20, F. » Personnalité sur l'avatar ;Ian Somerhalder » Comment avez-vous découvert le forum ? ; Par Lex » Comment le trouvez-vous ? ;Complet dans les explications, agréable, et les fiches de présentation sont super sympa (juste le décalage entre les premiers blocs et les autres me stressait. En même temps, j'dois avoir un problème dès que c'est plus aligné)^^ » Quelques remarques ? ; Je réfléchis » Code du règlement ;



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