(c) Livia

« CARTE D'IDENTITÉ » [X] Personnage Vacant ; [] Personnage Inventé » NOM ; Wayne » PRÉNOM ; Adam, Jeremy » ÂGE ; 29 ans » OCCUPATION ; Avocat » GROUPE ; humains lambda

« VIE AVANT L'IMPULSION » Le nom de Wayne, aujourd'hui si connu dans le Seattle dévasté de la post-impulsion, n'avait guère fait parlé de lui avant 2009, même si son propriétaire pouvait s'enorgueillir d'une bonne réussite. Thomas Wayne s'était lancé dans le projet ambitieux de lancer sa propre marque de bijoux de luxe, partant de zéro ; et il s'en sortit admirablement bien. De zéro, c'est romanesque mais certes exagéré. Thomas Wayne a quand même eu la bonne fortune de naître dans une famille très aisée, ce qui lui a permis d'accéder à des universités prestigieuses et d'avoir à dispositions des fonds raisonnables pour pouvoir lancer son affaire. Génie de la gestion, Wayne a mis à contribution son cerveau brillant, a su s'entourer des meilleurs et choisir les investissements les plus juteux. Le résultat, et en moins d'une décennie, est une entreprise de luxe assez réputée aux Etats-Unis, suffisamment connue pour assurer une bonne aisance à son directeur. Une excellente réussite, même si les ambitions de Wayne allaient bien au delà des frontières de son pays ; mais il restait un homme prudent qui considérait le succès acquis comme suffisant et décida d'en rester là, du moins pour le moment. Il manquait à Wayne une épouse pour parader à son bras et porter flatteusement ses bijoux. Il la choisit belle, charmante et d'un caractère doux, une certaine Mary Flores, mannequin qui eut la bonne fortune de recevoir des promotions successives, de simple top-modèle à égérie de la marque à femme du directeur. Elle profita de ce statut pendant trois ans, jusqu'à sa première grossesse où elle se retira définitivement du mannequinat pour se consacrer à l'éducation de ses enfants. Le couple eut deux fils : Thomas junior (ou Tom pour ses proches) né en 1990 et son frère Adam, de trois ans plus jeune. En temps que cadet, Adam n'avait pas comme destinée de reprendre la direction de la bijouterie Wayne, fonction que leur père destinait à Tom. Un arrangement qui convenait à tout le monde ; Adam était trop ambitieux et indépendant pour avoir envie de mener une vie toute tracée, Tom trop flemmard et volage pour avoir envie de modeler son futur personnel. L'enfance d'Adam fut aussi paisible que l'on peut l'imaginer, quand on vit dans une grande maison avec une gouvernante payée pour s'occuper de vos moindres caprices, qu'on a droit à tout ce que l'on réclame et qu'on enchaîne les écoles privées à la réputation sans tâche. Le mariage des Wayne n'était pas forcément heureux, sans être malheureux non plus ; disons que les deux s'étaient fait comprendre mutuellement qu'il ne fallait rien attendre de plus qu'une façade romanesque pour le monde et une image irréprochable. De fait, chacun vaquait plus ou moins à ses occupations, plus colocataires que couple. Adam estima ne pas avoir à s'en plaindre, les deux ne le délaissaient pas et il évitait les disputes enflammées qu'il voyait parfois chez certains de ses camarades de classe. Il s'agaçait juste de la préférence marquée de ses parents pour son frère, avec qui il ne s'entendait pas vraiment. Le caractère de Tom était radicalement opposé au sien. Quand Adam commençait à se faire des contacts intéressants, planifiait ses études ou travaillait pour son avenir, son aîné ne pensait qu'à boire et s'amuser. Rien de plus irritant pour Adam, qui malgré tous ses efforts voyaient invariablement son frère mis sur un piédestal alors qu'il ne faisait strictement rien pour le mériter. Cela suffit à le motiver à se démarquer le plus rapidement possible, pour ne plus qu'on oublie régulièrement que les Wayne avaient deux fils et non pas un. Dès l'école primaire, Adam montra son intelligence avec des résultats plus que brillants. Son caractère assidu et sa patience l'aidaient à être premier absolument partout, sauf peut-être dans le domaine du sport. Adam n'a jamais eu un physique exceptionnel et un asthme sévère l'empêchant de se perfectionner, il eut rapidement droit à l'étiquette du chétif premier de la classe. Philosophe, il tira de scènes de cours de récré pas forcément agréables à se rappeler, des enseignements salutaires sur l'intérêt d'avoir des bons alliés comme des bons ennemis. Adam avait 16 ans lorsque l'impulsion eut lieu. Son monde, comme celui des millions d'Américains ce jour-là, fut renversé par un vent de chaos. Pour la première fois de sa vie, Adam Wayne eut vraiment peur. Peur que l'électricité ne revienne pas, peur de l'anarchie qui ne tarderait pas à s'installer, peur de son futur incertain. Quand il y repense à présent, il n'est pas certain qu'il aurait parvenu à s'en sortir s'il avait subi la pauvreté comme la majorité de la population et ait dû finir à la rue et se battre pour survivre. Heureusement, il fit parti des quelques privilégiés à qui l'impulsion, ironiquement, fut presque profitable.

« VIE DEPUIS L'IMPULSION » Impossible de rester neutre après l'impulsion, soit on sombre soit on s'élève. La famille Wayne fit parti de cette deuxième catégorie. Leur fortune étant à base de lingots d'or, les pierres précieuses et les bijoux qu'ils utilisaient pour leur commerce, la valeur de tout cela explosa et ils devinrent scandaleusement riches. L'être humain se révélant comme toujours adaptable, Thomas sénior eut à peine le temps de se remettre de ses émotions et de commencer à comprendre ce qui arrivait, que lui et sa famille furent saisis d'une soudaine popularité, comme tous ceux dont la richesse ne reposait pas sur leurs seuls comptes en banque américain et qui avaient réussi à se préserver de la pauvreté. Propulsé soudainement parmi les plus puissants du pays, courtisés par des anciennes relations ruinées transformées en parasites, sujet de toutes les convoitises, Thomas Wayne sut cependant garder la tête froide et tirer avantage de sa situation. Il se fit une place parmi ces nouveaux riches, à la tête des grandes villes à présent dévastées par le crime, le pillage et la pauvreté, se débrouillant pour continuer à garder sa place au sommet. La vie d'Adam ne connut donc pas de changement radical, sinon que, ironiquement, le niveau de vie de sa famille augmenta nettement et qu'il suscitait nettement plus d'intérêt qu'avant. Il ne profita cependant pas longtemps de ce revirement ; trois mois après l'impulsion, Adam partait pour la France. Il était en effet suffisamment diplômé pour être admis à l'université et ne comptait pas renoncer à ses études. Son père ne comprit pas vraiment son entêtement, car à présent ils avaient les moyens de vivre tous comme des rois pendant toute leur vie, mais Adam avait ses raisons et ne voulut pas en démordre. Il souhaitait toujours mener sa propre voie et ne comptait utiliser l'argent familiale que pour financer ce projet d'émancipation. Les universités américaines n'étaient guère en état de reprendre du service, aussi quitta-t-il le pays pour se payer le luxe d'étudier dans une université étrangère, à Paris plus précisément. Très peu de gens étaient capables de pouvoir quitter les Etats-Unis, mais l'argent des Wayne lui ouvrit toutes les portes et fin août 2009, il emménageait dans son nouvel et luxueux appartement dans la capitale française. Il pensa que sa famille finirait par profiter de leur fortune pour s'établir en Europe, mais il se trompait. Partir de leur pays signifiait retourner à l'état des Wayne d'avant, certes riches mais sans plus ; à présent qu'ils étaient au sommet, ils avaient bien l'intention d'y rester. Adam passa sept ans en France, où il étudia le droit dans la meilleure université du pays, dans le but de devenir avocat. Ces sept années furent assez tranquilles, bien que le niveau de vie fut sensiblement abaissé suite à l'impulsion qui avait ravagé la première puissance mondiale. L'Europe dut apprendre à faire sans son principal partenaire économique, et s'en relever lui prit du temps. Néanmoins, encore une fois dans la classe des privilégiés, ayant tout l'argent voulu à disposition, Adam n'eut guère à subir les conséquences de l'attaque terroriste. Ces années furent principalement absorbées par son travail, et un peu par les sorties dans les boîtes huppées où il avait de quoi s'entraîner dans ses relations humaines et publiques, ce qui l'aida à affiner son sens de l'observation et de la psychologie. Sept ans plus tard, son diplôme en poche, Adam Wayne rentra à Seattle. Son retour surprit bon nombre de gens, à commencer par sa propre famille, qu'il n'avait pas revu depuis et qui pensait bien ne jamais assister à son retour. Egalement par ce qui était à présent l'élite de Seattle, les quelques personnes épargnées par l'impulsion ou divers opportunistes ayant réussi à s'en tirer malgré tout. Le fils prodigue, diplômé d'une université européenne, revenait dans ce qui n'était maintenant guère plus qu'un bidonville, abandonnant le confort de la civilisation moderne ? Voilà qui eut de quoi alimenter les ragots du beau monde pendant plusieurs semaines. Adam n'en avait cure, il avait des raisons bien à lui d'être revenu. S'il était devenu avocat, ce n'était pas par hasard. Pendant ces sept années, il avait mis toutes les chances de son côté, avait appris tout ce qu'il fallait savoir, et à présent, il avait les cartes en main. Ce qu'il voulait, c'était apporter un semblant de justice et de droiture dans un endroit qui, à première vue, en avait bien besoin. En effet, Seattle avait bien changé, ne ressemblant en rien à la ville prospère où il avait passé les seize premières années de sa vie. Quand il était parti, c'était certes l'anarchie, mais elle n'avait pas eu le temps de se délabrer. A présent, ce n'était plus qu'un bidonville crasseux et un centre du crime sous toutes ses formes : trafic d'armes, de drogues, gangs de criminels, meurtriers de tout poil, Adam n'avait certes pas à craindre le chômage. Au moins, son ambition de justicier allait le tenir occupé. A l'air de ses talents intellectuels et de sa sociabilité, ainsi que de sa formation irréprochable, il ne tarda pas à se faire connaître comme un des avocats les plus brillants et prometteurs de Seattle. Déjà célèbre comme étant membre de la famille Wayne, il joua de cette notoriété pour se mettre dans la poche les contacts les plus intéressants et les alliés les plus profitables. Au début, il prit un peu toutes les affaires qui lui tombaient sous la main, attendant patiemment d'être suffisamment courtisé pour se payer le luxe de choisir ceux qu'il daignait défendre ou faire tomber. Les petits criminels des rues ne l'intéressaient pas ; ceux-là ne faisaient que lutter pour s'en sortir, ce qui était certes condamnable, mais pas autant que les nouveaux richissimes qui profitaient de la détresse d'autrui en vendant drogues et autres trafics louches pour s'enrichir encore plus. Les plus dangereux aussi, car les plus difficiles à atteindre et ayant l'argent pour corrompre et empêche la justice de se refermer sur eux. Mais Adam aimait aussi avoir des défis à sa mesure. Il a des informateurs fidèles dans toutes les organisations clés de la ville, pas un endroit sans une paire d'oreilles pour le tenir informer. N'hésitant pas à se salir les mains pour atteindre son but et faire tomber les pires salauds, Adam a l'occasion de tremper dans des affaires pas très nettes. Jongler entre les deux n'est pas toujours aisé, mais au moins ça le tient occupé. Avocat intègre ou corrompu, personne ne sait ce qu'il en est vraiment et il se débrouille pour entretenir l'ambiguïté qui lui permet de caresser dans le sens du poil ceux qui détiennent des informations intéressantes. Tout cela a contribué à le faire remarqué par le Veilleur, dont il est devenu l'un des principaux informateurs. Adam pense que lui et cette mystérieuse personne ont des objectifs communs, aussi le renseigne-t-il sur nombre de choses que lui seul est capable d'apprendre. Vu que personne n'irait le soupçonner de ça, il peut donc continuer en tout impunité. La course contre le crime d'Adam fut perturbé deux semaines plus tôt. La nouvelle sur les transgéniques tomba, comme un caillou dans une machine bien huilée. L'avocat n'a guère tardé à se faire une opinion sur eux : il ne les aime pas. Et il fera tout pour les ignorer et continuer tranquillement comme s'il n'existait pas. Les informateurs de la NSA ont bien tenté de prendre contact avec lui, mais il les a ignoré. Non pas qu'il soit pro-transgéniques loin de là, il n'est pas pour leur intégration, il refuse simplement de se mêler de leurs affaires. Pourquoi, c'est une bonne question, la réponse qu'il se donne le plus souvent est qu'il est bien assez occupé comme ça pour s'inquiéter de mutants bizarres échappés d'un centre, mais la vérité est qu'il en a peur. Peur comme lors de l'impulsion, peur qu'une nouvelle catastrophe ne vienne bouleverser la vie qu'il s'est construite.

« PERSONNALITÉ » Adam est quelqu'un d'agréable à fréquenter : sociable et sympathique, il est très à l'aise dans ses relations avec les autres. Depuis qu'il est tout jeune, il a l'habitude de fréquenter tout un tas de personnes et d'évoluer en public, aussi les relations humaines n'ont-elles guère de secrets pour lui. Sa conversation est vive et enjouée, car contrairement à ce qu'on pourrait penser il n'est absolument pas austère et possède un certain humour. Très cultivé, il peut tenir la distance sur des sujets très variés. De base fin et observateur, ces qualités ont été développées par son métier ; il cerne rapidement les gens et sait aussitôt quelle attitude adopter pour plaire. Il est donc très malléable et n'a aucune difficulté à s'attirer les bonnes grâces de gens très différents. Socialement parfaitement intégré et à l'aise donc, Adam sait comment profiter de ses contemporains. Cette attitude sociale est en effet souvent intéressée, car le jeune homme est très calculateur et ne fait jamais rien au hasard. L'art de se faire détester ou adorer des bonnes personnes n'a donc aucun secret pour lui. Il se risque rarement à se laisser aller à l'amitié ou à l'affection, de peur que des réactions irraisonnées prennent le pas sur son esprit cartésien, mais quand cela arrive c'est un ami dévoué et fidèle, bien qu'il continue à avoir une attitude calculée et circonspecte, ce qui n'est pas aux goûts de tout le monde. Le naturel n'est pas son fort, la maîtrise de soit et le sang-froid sont deux qualités essentielles à tout le monde. Calme et extrêmement patient, Adam sait ce qu'il veut et peut attendre très longtemps pour l'obtenir, si cela en vaut la peine. Construire des alliances, nouer des liens, il voit toujours sur le très long terme et réfléchit toujours aux conséquences de chaque action, n'étant clairement pas du genre à foncer tête baissée. Il est très difficile de lui faire perdre de ses moyens, de le surprendre ou simplement de le mettre en colère. Cependant, Adam n'a rien d'un jeune homme austère. Il ne déteste pas s'amuser bien au contraire, et considère que quelques risques calculés accordent une petite pincée d'adrénaline salutaire. S'il est clairement manipulateur, ce n'est en rien de la perversité qui le pousse à jouer avec les sentiments d'autrui, juste une certaine prudence et de la lucidité sur la nature profonde de l'être humain. Il sait être très charmeur et se faire apprécier voir séduire ne lui déplaît pas. Il n'a en général aucun mal à plaire à la gente féminine et c'est une forme de pouvoir qu'il apprécie et use volontiers. Il a cependant sa fierté et ne laisse pas n'importe qui se permettre de jouer avec lui. Adam prend plaisir à donner l'image de l'avocat richissime, gâté et corrompu, mais les apparences sont toujours trompeuses. Certes, sa vision de la justice est peut-être extrême, mais elle est pure et sincèrement guidée par le plaisir à faire tomber les pourris de ce monde. Juste et intègre, il n'en est pas moins implacable et adepte de la maxime « la fin justifie les moyens », n'hésitant pas à des actions peu recommandables pour attendre ses buts. Il est donc toujours difficile de connaître ses véritables intentions car ses actions contredisent parfois ses paroles et vice et versa et surtout Adam prend un malin plaisir à brouiller les pistes, histoire d'être le seul maître du jeu. Fier voir un peu arrogant, il a une haute estime de lui-même, conscient de ses capacités intellectuelles au dessus de la moyenne et de toutes ses qualités, l'échec n'a pas la place dans sa vie.

« PHYSIQUE » De taille légèrement supérieure à la moyenne avec un mètre soixante dix-neuf, Adam n'est pas un jeune homme très imposant. Sa corpulence est plutôt fine et il est du genre mince et élancé. Sa condition physique n'est pas faible mais pas non plus optimale ; c'est plus un intellectuel qu'un sportif. En conséquent, s'il n'est absolument pas gras, on ne peut pas non plus dire qu'il soit très musclé. Cependant, il est d'une élégance certaine, naturelle et désinvolte ; il se tient très droit mais sans raideur, bouge avec aisance et chaque mouvement dégage une assurance typique de cet homme si sûr de lui. A cause de sa carrière, Adam a beaucoup étudié le langage du corps qu'il sait être très utile pour déchiffrer les pensées d'autrui. N'étant pas du genre à laisser le hasard avoir une emprise sur lui, il met un point d'honneur à entretenir cette attitude décontractée et élégante le plus naturellement possible, sachant que cette assurance déconcerte souvent ses auditeurs. Il a une belle voix, très agréable, qualité essentielle dans son travail. Son visage, à l'instar de son corps, n'a rien de particulièrement beau ou notable, mais il est expressif et mobile, ce qui le rend plus agréable à regarder. Les lèvres souvent étirées en un petit sourire en coin, son regard exprime toute son intelligence et son sentiment de supériorité. Ses yeux bruns sont très étirés, presque bridés, lui donnant un léger air oriental. Quant à ses cheveux, d'un noir mat, ils sont coupés assez courts et soigneusement coiffés vers l'arrière, de façon à dégager son visage. Niveau vestimentaire, Adam est très soigneux et toujours parfaitement mis. Grâce à ses moyens financiers, il peut se faire importer des costumes sur mesure des meilleurs couturiers d'Europe. Constamment tiré à quatre épingles, comme on l'attend d'un des plus brillants avocats de Seattle, il porte toujours des costumes élégants et parfaitement coupés, noirs la plupart du temps. Il est très soucieux du détail et aussi de faire bonne impression, aussi retrouve-t-on souvent des boutons de manchette hors de prix ou des montres de luxe dans son attirail.

« ET LES TRANSGÉNIQUES ? » La peur de ce qui est différent génère la haine, c'est la base de toutes les persécutions humaines au cours des siècles. Adam est trop pondéré et occupé pour se payer le luxe de haïr une population, mais il n'aime clairement pas les transgéniques et sans le crier sur tous les toits, ne fera rien pour les soutenir. Il en a peur, bien qu'il ne se l'avoue pas, sans pour autant s'en expliquer la raison. Il ne souhaite donc pas se mêler de leurs affaires et évite donc d'avoir affaire à eux. Cependant, même s'il n'est pas vraiment pour l'idée d'une intégration de ces créatures sorties d'on ne sait où et aux capacités digne d'un comic pré-impulsion, il n'aime guère les agents de la NSA et pas vraiment non plus qu'ils essayent de l'utiliser, lui et ses informations, pour mettre la main sur les transgéniques. Certes il n'aime pas les transgéniques mais il ne cherchera pas à les éliminer. Ce n'est simplement pas son problème. Du moment qu'ils ne font pas irruption dans sa vie, il essayera d'oublier qu'ils existent, s'en souvenant juste pour des besoins professionnels.

« RELATIONSHIPS » ¤ Jaden Reed : Il sait très bien que Jaden Reed ne l'apprécie pas et le prend pour un fils de riche. Cela l'amuse. Peu importe ce qu'il pense de lui, tant que leur collaboration n'en pâtit pas. Après tout, ils font un duo redoutable. Aucun coupable ne leur a échappé à ce jour. Et s'il peut jouer un peu avec ses nerfs au passage, ma foi, c'est du bonus ! ¤ Cassandra Meyers : Ils se connaissent depuis 6 ans. A l'époque jeune avocat prometteur, il était invité à de nombreuses soirées mondaines et mademoiselle, fille de, était un parti intéressant. Quelle surprise lorsqu'elle lui avoua ne pas être intéressée par une relation... Elle l'a intrigué et peu à peu, malgré lui, il est tombé amoureux de son côté bohème, de sa charmante naïveté, et surtout de son grand talent artistique. Il l'adore et la protège de son mieux, mais n'ose pas la toucher, lui avouer qu'elle le fascine, se considérant indigne d'elle. ¤ Nina Alvarez : Ils se sont rencontrés très récemment, au QG de la Police où il allait rencontre l'un de ses clients arrêtés. Ils se sont simplement croisés, mais elle l'a ensuite suivi jusqu'à la cafétéria, où elle lui a fait du charme. Bien qu'il s'en est amusé au premier abord, et a joué le jeu, l'insistance de la femme plus âgée devint gênante. Et lorsque l'apparition de sa collègue rendit clair qu'elle était agent de la NSA... disons que certaines insinuations devinrent plus claires. Il ne donne pas dans le masochisme, merci.

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« Vous » » Votre pseudo ; Shamusu » Âge et sexe ; 21 ans, fille » Personnalité sur l'avatar ; Joseph Gordon-Lewitt » Comment avez-vous découvert le forum ? ; j'étais sur Back to Pandora » Comment le trouvez-vous ? ; ahah j'adore toujours cette question, détestable bien sûr c'est pour ça que je m'inscris ^^ » Quelques remarques ? ; pas pour le moment, peut-être plus tard ! » Code du règlement  ;